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17 octobre 2012

Un beau dessin de Dubus... qui aurait pu...

Les dés son jetés. On ne peut plus rien changer. Il serait bon, à la lecture des commentaires qui s'écrivent ça et là, que les commentateurs étudient les lois électorales belges pour comprendre le mécanisme des nominations et des suppléances, en matière de pourcentages, sièges, cases de tête...  Un vrai casse tête.

Il n'empêche, qu'avec un peu moins de voix,  notre Gilbert cominois aurait pu connaître le même sort que le Moureaux de Molenbeek !  Mais, Comines, bien enclavée,  n'est pas Molenbeek....

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Commentaires

Et oui, Michel, même la Région Wallonne qui a mis à la disposition du bureau principal un logiciel pour la calcul des données du dépouillement, se trompe. En effet, la loi sur la nouvelle démocratie locale appliquée en 2006, ne fait plus profiter le 1er non élu des voix du "pot". Pourtant, quand j'ai regardé les résultats officiels sur "Elections2012.be", j'ai remarqué que notre 6ème candidate non élue, était 1ère suppléante et que Chantal Vanruymbeke qui avait pourtant plus de voix était 2ème. Pas si simple pour corriger le tir, envoie d'un recommandé au Collège des Gouverneurs etc......
En ce qui concerne le CPAS, la loi sur la nouvelle démocratie locale ne peut pas s'appliquer et c'est encore l'ancienne loi fédérale qui est d'application, figée par la loi sur la pacification communautaire. Ce n'est pas la seule différence, il y a pire... Mais je ne vais pas monopoliser la page de commentaire.

Écrit par : Didier Vandeskelde | 19 octobre 2012

D'autre part, avec peu de ou un peu plus de, c'est comme avec les "si" on referait le monde.
Ce n'est pas avec un peu moins de voix, oil en aurait fallu déjà un paquet, mais par contre à quelques voix près, le poste d'échevin du PS partait au MR...

Écrit par : Didier Vandeskelde | 19 octobre 2012

@ Didier,
Regarde ce qui se passe aux environs de Bruxelles, combien de listes sont rejetées dans l'oppsition, avec pourtant un maximum de voix. C'est un déni de démocratie. Que la ville de Comines-Warneton y fasse attention pour 2018. Comme le disait l'échevin Luc, "aucun accord pré-électoral n'existe". Ca veut bien dire ce que cela veut dire. En fonction des résultats, les coalitions se créent selon les opportunités pour ravir les écharpes, et non pour faire appliquer le programme du favori des électeurs. Les alliances devraient (encore du conditionnel) obligatoirement émaner du parti le plus fort. Bart DeWevr en sait quelque chose.
Bonne journée, et merci de ton attention.

Écrit par : MDW | 19 octobre 2012

Mais je suis tout à fait de ton avis Michel, j'en suis très conscient et je sais que beaucoup attendent le premier dérapage pour nous mettre dans l'opposition.
Bien à toi.

Écrit par : Didier Vandeskelde | 19 octobre 2012

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