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03 mai 2007

On voulait une preuve !...

medium_segogol.jpgDécidemment, Ségolène avait programmé cette colère "saine" face à la pédagogie calme et élégante de Monsieur Nicolas Sarkozy, afin qu'au terme du débat, les commentateurs - observateurs aient de quoi se mettre sous la dent !

Sinon, à part cela... elle a maintenu ses "je veux, je veux, je veux..."  
En tout cas, ses premiers alliés seront les partenaires sociaux. Il n'y a qu'eux qui bosseront... dans la rue !

A l'issue de ce débat, 60 % pour l'un, 40 % pour l'autre, c'est mon pronostic, vue d'un Belge qui ne vote pas !

 

Commentaires

Il ou elle ?

…pour celles et ceux dont la perspicacité rime avec ubiquité.


Que de paris n’a-t-on pas tenus, que de pronostics n’a-t-on pas imaginés avant la confrontation de ce mercredi 2 mai ! Permettez-moi de relater cette rencontre à ma manière…

Dans un superbe amphithéâtre où de multiples caméras vont dévoiler la moindre intervention, la plus discrète crispation et la plus humble satisfaction, de brillants professionnels veulent en découdre et se départager. D’un côté, elle se doit d’amener l’adversaire à la faute pour s’approcher du but si désiré; de l’autre, il se doit de faire preuve de sérénité, de calmer le jeu, vu l’avantage qu’il possède déjà .

L’affrontement débute. Guère d’attentisme. La rencontre coule, les passes d’armes s’enchaînent comme les airs irrésistibles de La Scala. Petit à petit, elle se jette dans l’offensive et prend l’ascendant. Sous les attaques successives, il campe dans ses retranchements et paraît de plus en plus engoncé. Tout y est pour déstabiliser l’adversaire : les percées qui fusent de toutes parts, les coups d’arrêt aux tentatives d’intimidation, ou encore les répliques tranchantes. Et cette tactique est payante ! A deux reprises, dès la première demi-heure ! Ouf ! La pause est là. Chacun reprend son souffle . L’orage serait-il passé ?

Mais non ! Séduisante et brillante, elle poursuit sur sa lancée, décoche quelques flèches assassines, bien décidée à ne rien lâcher. Surpris par tant d’agressivité, il tourne le regard vers les arbitres du soir et semble s’étonner des quelques coups bas non sanctionnés. Regrette-t-il déjà sa stratégie défensive, commandée par sa position de favori ? Mis en difficulté, il tente bien d’ endiguer la vague déferlante, de contrer l’irrésistible domination dont il souffre sans le montrer. Certes, il s’engouffre bien dans quelques brèches, mais trop timidement : l’effort ne porte guère.
Les minutes s’égrainent. Et puis l’énervement la gagne. Elle est rapidement rappelée à l’ordre. Elle n’en démord pas moins et maîtrise les échanges jusqu’au terme. Les dernières ripostes sont vaines.

Ca y est ! Le temps est écoulé. La lutte fut haletante, voire épique pour le plus grand plaisir des spectateurs qui se sont régalés devant l’audace, la vivacité, la débauche d’énergie. Le vainqueur est incontestable : c’est elle, celle qu’on a dit incapable de renverser la vapeur et qui finalement n’a plus qu’une étape à franchir pour brandir le trophée tant convoité. Je veux bien sûr parler de l’équipe de l’AC Milan qui a étrillé le club de Manchester 3-0, ce mercredi 2 mai ! Quoi ? Vous pestez ? Auriez-vous préféré un match nul, 1-1, balle au …centre ?

Écrit par : Marc Woestyn | 03 mai 2007

Et bien Marc,
vous êtes vraiment très, très fort.
Beaucoup seront bluffés
j'imagine.
En tous cas moi
je le suis.

Je n'ose imaginer le soulagement
pour MMJ.
Il a du avoir beaucoup de mal à tenir jusqu'à la fin.
A moins qu'espérant une chute à la hauteur,
il se soit empressé de lire les derniers mots
avant de finir.

Je suis sûr qu'après cela
il va se déchaîner....
et qu'une plume angélique lui pousse au doigt
ne m'étonnerait guère.
Tandis que l'inspiration
l'emmènerait si haut
qu'il apercevrait les résultats de dimanche.
Je pouffe de rire
rien qu'à l'idée de le voir mettre sa main en visière.

Bravo encore.

Philippe Mouton

Écrit par : Philippe Mouton | 03 mai 2007

Je ne dirai qu'un mot ! Bravo Marc !

J'ai suivi ce débat, par curiosité...non par intérêt.
D'ailleurs, ne suis-je pas belge un peu ?
Mais, je voudrais quand même relever une chose :

les deux "animateurs" du débat ? Figés, collés au siège, visiblement ayant la trouille que pouvaient avoir jadis les présentateurs des pays de l'est....comment comprendre
que deux journalistes vedettes aient à ce point été nuls ?

Dédé n'aime pas la politik...ni le foot !
Encore chapeau bas, Maître MW....

Écrit par : Dédé la brocante | 03 mai 2007

Et bien oui, mon cher Philippe, notre ami Marc m'a tout autant berné que vous.
A commencer par ce mot d'ubiquité dont je me suis empressé de consulter Robert. Le petit. Comme Nicolas. Celui qui veut, et je le souhaite pour lui, les Françaises z'et les "Françé", devenir très grand. Comme Charles. Dont on a dit qu'il était à la fois "un homme grand" et "un grand homme". Ce n'est pas de l'ubiquité, cela. Non, c'est... je ne sais plus. Je demanderai à "Maître Marc". Puisque Dédé l'a ainsi déjà méritoirement qualifié.
Aussi, au cours de ma lecture de sa prose, je me suis interrogé : "Aurait-il, lui aussi, tourné sa veste, comme Bernard ?" Permettez-moi de ne point préciser lequel !
Non... Quant à votre invitation à ce que je réagisse, j''ai trouvé la royale candidate beaucoup plus diabolique qu'angélique dans sa ségogolattitude qu'elle s'était donnée depuis la déposition de son égo-candidature narcissique.
Enfin, pour les chiffres que j'ai avancés...
Primo : je ne risque vraiment rien si je me trompe
Secundo : j'ai inclus dans les 60 %, le choix des Verts... car j'imagine qu'ils auront vu... clair !

Ne m'en portez pas grief. Tout cela n'est que bla-bla. Le plus savoureux restera toujours la richesse et l'élégance de notre... français tout aussi mis à mal que notre planète.
Est-ce que vous me suivez, mon cher Philippe ?

Écrit par : MMJ | 03 mai 2007

Bien sûr,
quelle chance d'avoir
quelques roseaux verts
auxquels se raccrocher.

Sur les traces de Verhaeren,
ce Frank Venaille
dont je vous parlais
il y a peu.

Amoureux de la Flandre
de l'Escaut, des plaines de chez nous.
Comme on peu l'être d'un Far West mythique.
Pour un Français me direz-vous
quelle Patagonie???
Et puis non, pas si patagon que cela
vu le nombre de ceux qui nous saluent.

Allons, gens de frontières.
Gens de Lys, ci-bas,
qu'un canal s'est perdu.
Si Brel a pu, rien qu'une fois
contempler la vallée de la Lys
depuis Zandvoorde
et s'en être souvenu
aux Marquises rien qu'une fois aussi,
nous avons fait le tour du monde
en pensée.

Tutti va bene.

Philippe Mouton

Écrit par : Philippe Mouton | 03 mai 2007

Je vous salue humblement
Et les uns
Et les autres
Maîtres des mots
Maîtres des vers
Je m'en vais
sous d'autres cieux
Là, ou les pors
N'altèrent point nos narines
de bon matin !
Je m'en vais
Dans un pays où le ricard est blanc
Là où les femmes voilées
sont plus sugggestives que nues
Là, où les épices font rêver
Là où les couleurs vous empreingent
Pour mieux vous faire oublier
qu'ici (sauf cette année) tout est gris..!

Tant pis pour ceux qui sont prisonniers
....d'une couleur ...!

Allez, assez bavardé.
Au revoir Miquette, tu pars toi aussi
en vacances chez "marraine"
Ton dédé reviendra bronzé
Il espère qu'au retour
tu ne confrondras pas sa jambre
avec une mère-gèse !
Au revoir mé gins
Ayez bcp de plaisir en mon absence....

Écrit par : Dédé la brocante | 04 mai 2007

comme Marc j'adore le foot et le second degré

Écrit par : Dirlobelix | 04 mai 2007

Les commentaires sont fermés.