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26 février 2014

Après Tintin et Milou, Boule et Bill, voici...

Le Premier Ministre au dos nu a réussi son coup : quelques jours avant l'ouverture officielle de la campagne électorale pour le fédéral, la région et l'Europe, (période durant laquelle les dépenses et les temps de parole sont comptés) il aura largement fait parler de lui, pour ne pas dire "fait parler des pandas chinois" immigrés en Belgique pour 15 ans. 
Mais il n'aura pas été le premier à de telles élucubrations. Jean-Luc Dehaene, le Panzer en Corrida, s'en souvient-on, avait lui aussi fait quelques gags marrants largement médiatisés, rien que pour amuser la galerie… des électeurs. 
Yves Leterme, (l'a-t-on oublié celui-la) avait, en bon ténor a-capella, entonné la Marseillaise pour la Brabançonne. Une erreur ? Sans doute !
Mais… "tout cela n'est pas bien grave !" 


 

21 février 2014

Des panneaux annoncent déjà la Trève de Noël !

Déjà, oui, la Reconstitution de la Fraternisation entre les belligérants de 14-18, à St-Yvon, est annoncée sur Comines-Warneton.

Voici le document unique, de Bruce Bairnsfather, qui détermine précisément l'endroit de cette rencontre historique.  C'est bien dommage, elle ne réussit pas à stopper net et définitivement les hostilités.

bairnsfather-image021.jpgIl s'agit d'un croquis dessiné sous forme d'une carte, portant des mentions écrites par le lieutenant caricaturiste.  On peut y lire, entre autres :
- ma première nuit en tranchées et confection de mon premier abri
- maison où j'installai mon abri sous le plancher et dessinai le premier "fragment"
- là où je vécus la Noël 1914
- Où je rencontrai et parlai avec "l'affreux Fritz" et "le haineux  Henrich"
- champs de navets gorgé d'eau
- lignes allemandes et britanniques
carte st-yve2.jpgGrâce à un petit montage de ce croquis sur un plan-satellite Google d'aujourd'hui (100 ans plus tard !) il est possible de repérer les chemins, et la mare avec précision, non loin où s'est déroulée cette fraternisation. En 1994,  les Kakhi Chums, après une toute premiière "re-acting",  y ont planté une croix, garnie aujourd'hui de ballons de foot et de poppies.

carte st-yve4.jpgSur son plan sommaire, Bruce Bairnsfather y a également indiqué les lignes de tranchées allemandes et britanniques, qui correspondent au tracé exact d'un plan officiel d'époque. Respectivement, entre les lignes bleues et rouges, le NoMans-Land… sur un champs de navets, gorgé d'eau, les Soldats ennemis se rejoignirent pour une Trève de Noël, hélas, bien trop courte.

Pour voir les montages cartographiques en grand, cliquez dessus !   

18 février 2014

pour Mostar-Inès !

Grâce à l'Internet et un ordinateur… tout est-il possible ?
Non. Pour mon ami Joseph qui ne réussit pas à visionner les exploits de gymnastique de sa petite-fille, je publie ce petit clip d'Ines, en public, durant 48 heures.
Après… ce sera fini !  Et surtout, bonne continuation à cette petite gymnaste pour son premier podium !

21:09 Publié dans J'APPLAUDIS | Commentaires (2) |  Facebook

15 février 2014

Ils vont célébrer l'anniversaire de la mort d'Albert Ier

Le 17 février, les patriotes cominois vont à nouveau se réunir autour des monuments puis et autour d'un verre pour honorer la mémoire du Roi-Chevalier Albert Ier, celui-ci qui commanda l'armée belge durant la guerre 14-18.

Mais qui était-il vraiment, ce 3e roi des Belges, "roi-chevalier", et mari d'Elisabeth : seules notions dispensées à l'école !  (Il y a 50 ans !. Mais, en dit-on plus aujourd'hui ?)

Le site "Herodote.net", né en 2004, nous dit tout ! Voici ce qu'André Larané nous propose de lire pour en savoir plus .

 

Quand Albert 1er devient le troisième roi des Belges, le 23 décembre 1909, à la mort de son oncle Léopold II, la monarchie est au plus mal, frappée par l'impopularité de l'ancien souverain.

Il a scandalisé ses concitoyens par ses frasques mais il a aussi donné à la Belgique, État improbable, un statut de «puissance planétaire» grâce à ses entreprises coloniales.

 albert_1910-1.jpgAlbert 1er va quant à lui restaurer l'honorabilité de la famille royale.

Il va surtout, dans les épreuves de la Grande Guerre, offrir à la monarchie ses lettres de noblesse et installer la Belgique à l'avant-scène de la diplomatie européenne.

Son courage et son engagement au service de la paix lui ont justement valu le surnom de «roi-chevalier».

Du bonheur conjugal à la guerre

Quand il est appelé sur le trône, à 34 ans, Albert est déjà un homme mûr. Marié à Élisabeth, duchesse en Bavière, il a trois enfants : Léopold, qui succèdera à son père, Charles, qui assumera la fonction de régent, et Marie-José, dont le mari deviendra le roi d'Italie Humbert II.

La famille offre l'image du bonheur conjugal, de quoi rassurer les Belges après les turpitudes de la fin de règne de Léopold II. Tout bascule avec l'invasion de la Belgique, État neutre, par l'armée allemande, le 4 août 1914.

Le roi prend le parti de résister et exige d'assumer sa prérogative de commander l'armée. En octobre 1914, comme le général Joffre lui ordonne d'évacuer la Belgique avec les débris de son armée, il décide de n'en rien faire et  prend la décision inouïe de se replier sur la ligne de l'Yser, le dos à la mer.

Sur ce territoire grand comme un mouchoir de poche, protégé de l'invasion par l'ouverture des digues et l'inondation de la plaine environnante, il va dès lors résister à l'occupation pendant toute la durée de la guerre.

Albert 1er mène en parallèle une action diplomatique vigoureuse dans le but d'aboutir au plus vite à une paix de compromis. Il soutient le pape Benoît XV dans ses tentatives de conciliation et, en 1917, engage les jeunes princes Sixte et Xavier de Bourbon-Parme dans la plus grande négociation secrète de la guerre, avec la complicité de l'empereur d'Autriche Charles 1er. 

Les deux officiers ont l'avantage d'être les frères de Zita, épouse de Charles 1er et vont user de cette relation familiale pour transmettre les messages entre les négociateurs des deux camps. La négociation va échouer au bout de quatre mois, du fait en particulier du refus de l'Italie de renoncer à ses prétentions territoriales !...

Enfin, le 22 novembre 1918, le «roi-chevalier», la reine et leurs enfants font une entrée triomphale à Bruxelles.

Le devoir

Sans attendre la libération complète du territoire, le 11 novembre 1918, au château de Loppem, le roi reçoit les représentants des principaux partis et met sur pied un gouvernement d'union nationale en vue de reconstruire le pays.

Il soutient l'instauration du suffrage universel, à partir de vingt-et-un ans, qui sera voté en décembre 1918. Il donne aussi son aval à la création, à Gand, d'un établissement d'enseignement supérieur en néerlandais.

Albert 1er intervient comme il va de soi dans les tractations qui vont mener au traité de paix de Versailles, le 28 juin 1919.  À la grande différence des Français et deClemenceau en particulier, il refuse d'accabler l'Allemagne, digne en cela aussi de son surnom de «roi-chevalier».

Il ne veut pas que soit soulevée la question des atrocités allemandes commises sur son territoire en août 1914 et regrette que son armée participe à l'occupation de la rive gauche du Rhin. Il obtient que soit abrogé le statut de neutralité de 1831, qui a si mal servi la Belgique. Mais c'est à son corps défendant que son pays annexe les districts d'Eupen et Malmédy, en partie francophones et germanophones (ainsi que les petites colonies allemandes du Rwanda et du Burundi).

Deux ans plus tard, il concourt à la signature, le 25 juillet 1921, du traité instituant l'Union économique belgo-luxembourgeoise avec le grand-duché de Luxembourg.

C'est une très lointaine préfiguration du Benelux institué le 5 septembre 1944 avec les Pays-Bas.

Quelque peu las, le roi n'aura pas le loisir de vieillir. Parti en solitaire pour l'ascension d'une aiguille, à Marche-les-Dames, près de Namur, il fait une chute mortelle le 17 février 1934. Il n'a pas encore 59 ans.

Son fils Léopold III (33 ans) lui succède. Servi par la popularité de sa belle épouse, la reine Astrid, il ne témoignera pas, pendant la Seconde Guerre mondiale, du même courage que son père et sera à l'origine d'une grave crise monarchique.

13 février 2014

Khéops, Gizeh, Louvre, Aniche et Plugstreet

20130920_175432_all_ws1016405293.jpgEst-il permis de bouder les statistiques, les chiffres, les diagrames et autres tableaux récapitulatifs au risque de ne pas se rendre compte de l'évolution des choses ?
Aujourd'hui, au "13 heures", un article tente de nous informer sur... "la voyance", puisqu'on lui a dédié une semaine !  A l'écran, s'affiche en grosses lettres : "1 Français sur 10 consulte un voyant par an !".
- "Quoi ?  Tant que cela ?" ou "si peu ?"  La chroniqueuse explique que les voyants, les médium utilisent différents ustensiles : cela va du pendule, des cartes, du marc de café et, chose que j'ignorais, une pyramide de cristal !  La boule serait-elle obsolette ?

 

dsc01474.jpgEn parlant de pyramide, de "pyramide de verre" j'entend, celle du Louvre s'harmonise à merveille  au milieu de ce splendide édifice construit par les Rois de France,  au temps où les architectes ne disposaient que de leur propre capacité en "calcul mental".

 

 

img-1596-copie.jpgUne autre pyramide de verre s'est élevée à "Plugstreet" l'année passée, non loin de la colonnade circulaire du Mémorial élevé à la mémoire des Tommies disparus sans que l'on sache où ils reposent dans notre sol, depuis près de 100 ans. 

 

 

 

 

800px-Aniche_-_La_pyramide_(1).jpgMis à part ces deux constructions pyramidales, je viens d'en découvrir une méconnue dont l'objectif est d'orner un... "rond-point". Presque identique à la nôtre. C'est à Aniche, dans le Nord !

 

09 février 2014

Voilà, c'est fait : la Belgique se classe 6e sur 27 pays !

Cela fait trois semaines que je vis au rythme d'un tournoi international de tennis comparable à la "Fed Cup", pour les filles de moins de 12 ans. 

Début février, la qualification des 8  finalistes sur 27 pays se déroula dans quatre grandes villes différentes. La finale s'est terminée ce dimanche à Cheffield (GB).

Classement final :1ère Tchéquie, 2e Russie, 3e Grande Bretagne

Les trois joueuses belges, Nienke, Michelle et Emeline, entourées et coachées par Dennis de la VTV rentrent au pays, heureuses. 

Bien à la mode à l'occasion des JO de Sochi, la maxime a été pour nos petites joueuses : "L'essentiel est de participer !". Et le résultat est très honorable. Bravo les filles.
La photo : à l'extrème gauche, l'équipe belge en survêt' noir., lors du 1er jour.  

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18:37 Publié dans J'APPLAUDIS | Commentaires (0) |  Facebook

02 février 2014

Trois minutes rigolotes !

Faut pas perdre les bonnes habitudes !
Déridons-nous !
Sans "se croire au dessus du lot", faisons preuve d'un peu de bon sens et d'humanité, et aussi surtout.... de beaucoup d'humour et d'un peu de dérision !
Car il en faut, dans ce monde... de pseudonymes moralisateurs !
C'est parti pour trois minutes rigolotes.  (Pour les "Trop sérieux"... s'abstenir !)