le "RÉTRO-VISEUR"

Fervent admirateur des bons caricaturistes, et particulièrement de Frédéric du Bus qui croque quotidiennement dans la "DH", l'actualité navrante de la Belgique, voici un petit clip-vidéo qui relate toutes les péripéties qu'ont dû subir le courageux Johan Vandelanotte ainsi que les citoyens de bons sens que nous sommes. 
La manif d'aujourd'hui à Bruxelles ?  Oh lala... attention le retour de flamme !  

Au lieu de me laisser pousser la barbe, ce qui fera la distinction des citoyens néerlandophones des francophones, en Belgique, je préfère regarder un autre petit clip sur Youtube.
Partage !

A la veille de l'anniversaire de l'Armistice, celle qui a mis fin à la Première Guerre Mondiale, et tandis que l'actualité de Ploegsteert relate la découverte des dépouilles de six Combattants Britanniques qui, eux, n'ont pas connu cette journée du 11 novembre 1918, je tiens à leur rendre hommage par cette modeste petite chanson.
Ils ont reposé, là, durant plus de 90 ans, sous 40 cm de terre à labour. Cette terre de Ploegsteert, cette terre qu'on appelle aussi "Terre à Champions".  Parmi ceux-ci, il faut citer Patrick Roelens et son équipe qui, inlassablement, automne après automne, arpentent les sillons creusés par la charrue. Un bouton cuivré apparaît soudainement sous la lueur du soleil. Un espoir surgit. Toutes les familles dont les noms sont gravés sur le Mémorial doivent se sentir concerné : les restes d'un aïeul seront peut-être identifiés.

Demain, près (ou plus) de 5000 joggeurs viendront courir autour du Mémorial.
Pour commémorer !

Au lendemain de la conférence du sénateur Delperée qui nous a expliqué en long et en large l'interprétation de la Constitution Belge à propos de notre ville de Comines-Warneton, je me demande quand même quelle a mouche à piqué le Législateur, durant des décennies, pour faire de la Belgique un pays que je n'hésite pas à qualifier de... "chiant".  Excusez le mot... mais il n'y en a pas d'autre.

Lorsque j'étais gamin, à l'école ou au patronage, on nous a appris à entonner fièrement une chanson qui devait être une deuxième brabançonne.
Cette chanson-là est quasiment tombée dans l'oubli de la mémoire collective.
Mais, grâce aux prouesses de l'internet, je l'ai retrouvée.
Une mélodie majestueuse, des paroles qui amènent vers le haut, ... Je vous invite à l'écouter et apprécier ce moment musical. Rien que pour le plaisir d'une nostalgie devenue... ringarde. N'êtes pas obligé d'y adhérer !

Mercredi, le 21, les écharpes vont ceindre ceux et celles qui iront, non pas pour chanter la Brabançonne mais écouter le Te Deum dans une église rafraîchie, comme devrait l'être, l'autre, avec un « E » majuscule.
Les oriflammes seront là, pour donner de la couleur et du cachet, après quoi, les porte-drapeaux auront bien mérités un verre pour prouver l'estime qu'ils méritent !

Mais à part cela, cette fête nationale de 2010 aura bien de mal à faire passer le message qu'on en attend : rappeler notre vieille devise qui se vérifie être très exacte dans bien des domaines : qu'ils soient économiques, sportifs, humanitaires sans oublier le national et  le culturel.
Les différentes générations de politiciens qui ont eu la gestion de notre pays n'en ont fait qu'un foutoir à arrangements qui leur convenaient !
Quelle déglingue, maintenant !
Aujourd'hui, l'opinion internationale nous rit au nez avec nos querelles autour d'une capitale qui semble être gérée par Manneken-Pis, déplumé, sans culture et sans le sou !
Pourtant, la Belgique avait tout pour exprimer sa... Valeur Ajoutée et profiter du savoir-faire de ses... Citoyens.
Assez de batailles ont fait couler du sang, toujours rouge, sur notre état-tampon avant que les Belges ne reçoivent leur autonomie et leur indépendance décidée en 1830 par les voisins !

Mais qui sont vraiment ces gens flamingants qui veulent se séparer de l'état fédéral et vivre reclus sur eux-mêmes en diabolisant tous ceux qui ne parlent pas comme eux,  dans l'un ou l'autre dialecte régional ?
Et qui sont vraiment ces gens qui crient haut-et-fort que leur sort serait meilleur, une fois rattachés à la France... en seconde zone ?
Dites nous alors, où sont-ils, ces discrets et braves petits Belges qui veulent encore se tendre la main et parviennent sans difficulté à se comprendre avec la volonté d'encore unir leurs forces !

« J'accuse... » nos RTB et BRT se sont mutés en caisse de résonnance aux discours fanatiques, séparatistes et extrémistes et servir de porte-voix à ceux qui ont l'ambition de prendre le pouvoir comme un certain Adolf l'a fait !   Les média télévisés ont voulu ignorer l'autre région pour mieux détricoter le pays.

C'est au pied du mur que l'on reconnaît le maçon. Bart et Elio, seront-ils ces « pacificateurs  » pour remettre notre Belgique d'aplomb. L'un prône la fierté de sa culture, l'autre la solidarité entre les peuples.
Est-ce vraiment incompatible ?

Non !  Et c'est mon avis !  Bonne fête à vous, si vous aimez le noir - jaune - rouge !

Rattacher la Wallonie à la France ?  Cela serait un désastre pour le Bizet.
Tout ce qu'on demande : plus de jugeote de la part de nos Politiciens : Respect du droit du sol ET respect de la culture des gens qui y habitent ! 

En attendant, le hameau du Bizet sera bientôt en effervescece pour sa fête de la Brique. C'est l'occasion de rappeler qu'au centre du rond-point du Faubourg, la Ville y installera (je l'espère) une de ces berlines qui constituaient ces  fameux petits trains amenant l'argile pour en fabriquer des briques  ?

Demain, 10 mai !  Il y a 70 ans,  jour pour jour, que cette affreuse guerre déclarée par Hitler et son armée nazie plongeaient le pays, l'Europe, le Monde dans une tuerie horrible et une misère effroyable longues de 5 années.  
Avant hier, la Belgique a fêté le jour V de la victoire de 1945 qui mit fin à cette 2e guerre mondiale. Des millions de morts pour rien ! 
Le clip que je vous invite à regarder (8 min) nous donne une idée de ce qu'ont dû vivre nos parents et grands-parents. Ces Anciens Combattants-là sont tous disparus, aujourd'hui. Mais leur drapeaux flottent encore !  Sait-on pourquoi ?

A la veille de la campagne électorale, il est bon de réfléchir !....  Car Hitler est devenu Fürher... DEMOCRATIQUEMENT !

Chaque année, à cette époque-ci, celle de la Saint-Georges et de l' A.N.Z.A.C.-day, la discrète lueur de patriotisme qui veille en moi (et que je respecte uniquement pour le "Devoir de Mémoire" qu'il m'inspire) resurgit pour s'ajouter à tous les douloureux souvenirs que des Anciens Combattants possédaient, savaient et taisaient.  
Mes paternels furent de ceux-là. 
Alors qu'ils sont dans l'au-delà, je n'ai pas d'autres solutions que d'écouter et méditer ce que d'autres ont réalisé avec tant de talent !
Cette chanson est un cri d'alarme ANTI-GUERRE en même temps qu'un émouvant témoignage de ce que fut ce horrible conflit qui, aujourd'hui encore, a laissé, par-ci par-là, d'impressionnants "No Men's Land".

Consacrez 5 minutes de votre temps pour écouter, lire, regarder et méditer. Merci.

Hier, les Grands de ce monde ont célébré le 20e anniversaire de la chute du Mur de la Honte, à Berlin.
Depuis le 1er nov, à Comines-Warneton, des enfants choisis fleurissent le Mémorial et les Monuments aux Morts.
Leur Avons-nous posé la question du " Pourquoi ?"
Petit retour en arrière... en images !

Image affreuse des tranchées, quatre années durant, de 1914 à 1918, de Messines à Frelinghien, passant par le Gheer !

Dessin réalisé par un lieutenant anglais Bruce Bairnsfather, créateur du personnage Old Bill, qui écrivit un récit à propos des fantassins britanniques, leur conditions de vie
dans ces tranchées innondées en permanence, vivant avec les rats, et les balles qui sifflaient par dessus leur casques. Les explosions, les assauts ont fait des milliers de morts.  Ils remplissent aujourd'hui nos cimetières.

Le légendaire humour anglais s'est même servi de cette abominable Première Guerre mondiale pour en faire un film avec.... Charlot !

Non... Charlie Chaplin n'a pas place dans le souvenir de ces enfants qui déposent des gerbes.  Tout, en visionnant un extrait comique, sans doute pourront-ils s'imaginer !

En regardant le « Rétro-viseur »,
Tu te demandes sans doute pourquoi

Sont-ils nombreux, les surfeurs

Qui cherchent et savent quoi !

Sur la souris, d’un doigt, ils cliquent
A leur écran, les images apparaissent

Comme par une magie fantastique

L’actualité défile dans leur paresse.

J’en voyais d’autres attendant le moment

Armés d’objectifs montés sur Canon

Pour capter les pixels de l’instant,

A coller sur des Blogs titrés à leur nom.

De nettes images foisonnent sur la toile

De lui, d’elle, d’un voisin, d’un défunt

Mystérieux Internet comme le sont les étoiles

Il n’y a pas d’âge pour s’y mettre, à la fin.

Le folklore, le patriotisme, les traditions,

Le sport, la famille, tout y passe

Sans oublier de dénoncer les pollutions

De commenter sous pseudo qui agace.

Si belle et animée qu’est la vie ;

On la fige en arrêts sur images,

Vous et moi, nous en sommes ravis

Le contraire serait bien dommage.

Enfin… formulons un bel espoir :

A quoi sert ce « Rétro-viseur » pour finir

Il ne peut rien pour votre mémoire

Mais peut vous aider à vous souvenir.

Voilà une note qui fera pâlir les affiliés du TCW. Et... puisque, selon des dires, on m'aurait vu à la télé,.. oui, je suis allé voir Roland Garros. Pour l'ambiance seulement... car, il est vrai que je ne regardais le tennis... que de loin.
Mais depuis que ma petite-fille s'est mise à ce sport... Aah, le tennis est devenu, pour moi, l un des plus beaux sports : parce qu'il est praticable à tout âge. Peut-être m'y mettrai-je un jour... 
Bin voilà, j'ai vu, là-bas, de mes yeux vu, cette discipline qui exige aussi : patience, maitrise de soi, bonnes notions de math. pour les points, condition physique, observation, précision, et tout et tout !

Voici un petit clip authentique pris à Roland Garros, avec l'ambiance intacte, sans être filtrée par des commentateurs.

Il faut d'abord en humer l'air puis affronter la sympathie des ses habitants. L'Irlande, si sauvage, tellement colorée et toujours fascinante.
J'en souris encore rien qu'à écrire cette petite histoire, inattendue et spontanément vécue.
Permettez-moi de la partager. 

Aux toilettes, dans un Pub du comté de Kerry (S-O de l'Irlande)
Pour adopter leur coutume, j'y entre en saluant la personne qui s'y lavait les mains. "Hello, Hi !" lancé-je avec mon accent anglais trop accadémique avant d'aller me poster devant l'urinoir.
Aussitôt, l'Irlandais, m'adresse la parole dans son dialecte que je ne décripte pas. 
Dépité, je me résous à répondre, en tournant la tête : 
- "Sorry, I don't onterstand. I 'm Belgian !"
- "Oooh, Belgium !!!  Welcome in Ireland ! " Et il s'approche de moi en me tendant la main encore mouillée. Hésitant, je la lui prend !"
Et il me dit aussitôt, avec un sourire aussi large que ses vieilles lunettes :
- "Belgium, One point; Ireland : Twelf points ;  England : NO point !"

Puis, satisfait de notre poignée de main et de sa blague qui nous a fait rire, il est parti en ma criant : "BYE !"    

Trop beau ce clip d'animation sur cette mélodie pour ne point le partager.
A le regarder, encore et encore, mon imagination devient fertile
En attendant le Carrefour des Génératons, de ma ville,
Mes pensées s'évadent. A autre chose, je vais y songer ! 

"Tout va très bien, Madame la Marquise...."
La photo ci-dessous du dernier G20  piquée du Net, m'évoque une chanson que peut-être jamais ils n'ont entendue.
Ecoutez... C'était en 1957. Est-elle encore de mode ?
(Faut cliquer sur le lien de Youtube.)
Comme les temps changent !

Elle ressemble à la Tour irlandaise de Messines, celle qui fut érigée pour  symboliser la volonté de paix entre le peuple de la République d'Irlande et les citoyens de sa Gracieuse Majesté, les Britanniques de l'Irlande du Nord.

A l'avant-plan, coule un ruisseau qui n'est pas la Douve, mais son eau possède des qualités exceptionnelles pour la fabrication d'une excellente bière brune : la Guiness.  Non, ce n'est pas la Queue de Charrue. 

A l'arrière plan, ce n'est ni le Mont de la Hutte ni le Kemmelberg, mais bien une montagne du Glendalough !

En effet, je me prépare à mieux connaître ce pays en allant le voir de près, alors que, de loin, je me contente de l'aimer.

L'ami Jean-Claude, qui jouait le rôle de convoyeur, me demandait l'autre soir :
- "C'est pour faire un petit film que tu mettras sur Youtube dans 50 ans ??"
' "Que non."
Primo, je n'ai pas l'espoir de devenir centenaire ! Deuzio, j'avais mon petit numérique pour "capter du privé" !
Et enfin...
Troisièmement : Est-ce que le Saint-Nicolas qui visite chaque année les Petits Ploegsteertois le pourra-t-il encore dans 10, 20 ans !
Car la mesure qui est prise par l'autorité communale d'Anvers (pardon : Antwerpen) ajoute encore un peu plus de ridicule à tout ce que notre voisine "Vlaanderen" décide pour son bon plaisir.  Selon des décideurs Anversois, le Grand Patron des Enfants Sages ne pourra bientôt plus visiter les enfants dans les écoles avec... tenons-nous bien : une croix sur sa mitre. Tout cela, pour ne pas choquer les petits gamins qui seraient élevés et bercés dans une autre religion. Pour ne pas choquer les Musulmans, les Juifs, ou autres hérétiques.
Déjà que cette fête pour les enfants se voit contrainte de céder le pas, au cause du marketing, au Père Noël qui jouït d'une réputation plus laïque, plus païenne, plus... dépensière.  Quoique son prénom, Noël, pourrait aussi susciter l'envie de le renommer. "Papa Cadeau", par exemple ! Pourquoi pas !

Mais, venons à la quatrième raison de cette note :
Tirons notre chapeau à ces gens dévoués du Comité des Fêtes de Ploegsteert qui se démènent à longueur d'année, l'une après l'autre, pour donner un petit peu de bonheur à la population locale, quelle que soit son âge ! 

We need change !  En français : Nous avons besoin de changements !
(En Belgique aussi !)
Mon espoir : que l'Afro-Américain remplacera l'affreux Américain !

Loin de moi l'envie d'aller dépenser 10 € en TVA et accises pour le carburant nécessaire pour me déplacer à Bruxelles, ce dimanche. D'ailleurs, cette marche... je me demande encore à quoi elle aura servi, même si je tire mon chapeau devant Mme Houard, l'initiatrice de cette manifestation.

Mais à entendre les gros politiques qui l'ont commentée, j'en suis encore plus révolté.
Parce que les DiRupo et Milquet se réjouissent à l'unisson de cette démarche citoyenne et se félicitent d'y avoir pris part en tant que bons petits Belges, fiers de cet état que leurs prédécesseurs ont eux-mêmes malfoutu. Et je mets Reynders dans le même sac, puisqu'il jouit d'une large interview télévisée pour redire sa... campagne électorale.

Mais, bon sang, ils ne se sont même pas rendu compte que cette manifestation n'était autre qu'un... BLAME qui leur était adressé ? Et à eux et à tous les négociateurs !

Si la "Belgique de Papa", je l'aime bien, c'est uniquement parce j'aime me sentir chez moi, quand je me balade sur l'estocade de Nieuport, sur la place de Brouckère à Bruxelles ou sur le pont enjambant la Meuse à Dinant.

Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait ? J'ai une suggestion.

1)D'accord pour dialoguer... si on arrive à se comprendre.
2)Réunir le Brabant à déclarer bilingue.
3)Supprimer les facilités partout ailleurs.
4)Créer une incitation pécunière pour les fonctionnaires faisant l'effort d'un bilinguisme là où c'est nécessaire.

Ainsi, on n'oblige plus les gens à apprendre l'autre langue... Les volontaires en seront récompensés.
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ma bannière : un triptique de Kroll, Dubus et Lismonde, tous trois excellents caricaturistes.

La bataille de Waterloo s'est déroulée le 18 juin 1815. Elle s'est terminée par la victoire décisive de deux armées : celle des Alliés composée principalement de Britanniques et Hollandais, commandée par le duc de Wellington, et celle des Prussiens, commandée par le maréchal Blücher ; toutes deux opposées à l'armée française dite Armée du Nord emmenée par l'empereur Napoléon.

Sinon... imaginez ce que vous voulez !